FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES,SOCIALES,ECONOMIQUES ET DE GESTION Adresse : 34,Rue Cyrus le Grand 1002 Tunis Tel: (216) 71 335 073 – 71 336 023 Fax: (216) 71 334 897 www.uas.ens.tn
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الاثنين، 29 أبريل 2013
السبت، 27 أبريل 2013
PRESENTATION DE L'UAS
Nous avons le plaisir de vous accueillir à l’Université Arabe des Sciences
À l'avant-garde de la technologie, dans ses locaux modernes en plein centre- ville de Tunis, l'Université Arabe des Sciences
offre un environnement propice à une vie étudiante des plus stimulantes. L’UAS offre des programmes d'enseignement variés conçus de façon à répondre adéquatement à vos différents besoins
offre un environnement propice à une vie étudiante des plus stimulantes. L’UAS offre des programmes d'enseignement variés conçus de façon à répondre adéquatement à vos différents besoins
.
L'approche pédagogique spécifique de l'UAS, son partenariat unique avec le milieu économique, ses projets de
coopération internationale avec de nombreux pays et les activités de ses étudiants lui ont permis de se hisser au rang des grandes universités privées de la Tunisie.
coopération internationale avec de nombreux pays et les activités de ses étudiants lui ont permis de se hisser au rang des grandes universités privées de la Tunisie.
Les formations proposées au sein de l’UAS privilégient :
- La mise en œuvre de méthodes pédagogiques innovantes et plus actives, fondées sur l'enseignement en petits groupes, le contrôle continu, le suivi régulier des étudiants, ainsi que l'usage des Technologies de l'Information et de la Communication (salles informatiques spécifiques, accès Internet, e-learning…) ;
- Une professionnalisation accrue des diplômes au fur et à mesure que l'étudiant progresse dans son cursus, appuyée sur une interaction forte entre enseignement universitaire et expérience professionnelle, des stages en entreprise sont proposés y compris dans les formations fondamentales ;
- Un renforcement des liens avec les milieux professionnels, notamment grâce à leur participation à la formation des programmes pédagogiques.
Parce que sa mission première est d'offrir des formations débouchant sur un emploi, l'Université doit plus que jamais défendre des parcours s'ancrant profondément dans les réalités professionnelles, qu'elles soient nationales ou internationales.
Il s'agit en effet de répondre aux besoins tant des étudiants que des marchés, de s'adapter aux évolutions économiques, sociales et technologiques, de proposer des cursus en adéquation avec les attentes des employeurs et préparant à l'entrée sur le marché du travail.
Il s'agit en effet de répondre aux besoins tant des étudiants que des marchés, de s'adapter aux évolutions économiques, sociales et technologiques, de proposer des cursus en adéquation avec les attentes des employeurs et préparant à l'entrée sur le marché du travail.
BIENVENUE DU DOYEN
Bienvenue à la FACULTE DE SCIENCES JURIDIQUES,SOCIALES,ECONOMIQUES ET DE GESTION
Notre Faculté fait partie de l'Université Arabe des Sciences (UAS) qui est l'une des plus anciennes universités privées de Tunisie créée depuis 1992 âr des universitaires tunisiens.
Elle fait partie du pus grand groupe éductionnel privé de Tunisie:le Groupe de l'Education et des Sciences (GES).
Outre l'UAS, le GES comprend
-une autre université au Gabon: l'Université Africaine des Sciences;
-unétablissement de formation professionnelle:l'Institut d'Administation des Entreprises(IAE)
-4 écoles primaires (Salim School à Ennasr, Salima Schhol à Ezzahra, Salim school au Bardo, Lamis School au Mourouj
-2 collèges à Ennasr,et Ezzahra
Notre Faculté est l'une des plus anciennes facultés privées de Tunisie caractérisée
-par la diversité de ses formations
-par la multiplicité de ses spécialités
-Par son rayonnement international puisqu'elle accueille le plus grand nombre d'étudiants étrangers
La Faculté est fière d'avoir formé des cadres qualifiés qui,grace à leur formation, ont facilement intégré le marché de l'emploi et occupent de grands postes de responsabilités dans les différentes administrations en Tunisie, en Afrique et dans d'autres pays arabes
En nous rejoignant vous une formation de haut niveau,un encadrement trés rapproché, une ouverture sur 'environnement trés soutenue afin de vous garantir la réussite dans votre vie professionnelle.
MOURAD BEN TURKIA FONDATEUR DE L'UAS
Mourad Ben Turkia, le fondateur de l’Université arabe des sciences (UAS) et du Groupe de l’Education et des Sciences a beau avoir enseigné à La Sorbonne, il reste un ?’Mourabbi’’ (éducateur) à l’ancienne jusque dans le sang, car cette passion de l’enseignement remonte très loin; du temps où il restait en admiration devant ses premiers maitres d’école. Il a ce qu’il appelle ?’un grand défaut’’ ; celui d’être très exigeant envers lui-même, ses enfants, ses élèves et ses étudiants. Sa devise de toute une vie est celle d’un enseignant : ?’Le sérieux et la discipline’’, autrement il ne peut travailler et en fait une maladie.
Son poste de commandement d’un groupe qui va de l’enseignement du primaire au mastère et qui compte 30 nationalités et 200 enseignants est une toute petite pièce élégante, claire, accueillante d’où les tons foncés sont résolument exclus. Un Laptop Tablet, des bannières, du cuir beige et de la lumière terminent le décor où évolue M. Ben Turkia. Chaleureux, choisissant attentivement ses vocables, dans un costume aussi sobre qu’un uniforme d’officier, le doyen de l’UAS est cet universitaire méthodique, bourré de principes et de valeurs, auquel chacun voudrait confier ses enfants.
Pour lier le propos, il nous parle de quelques-unes de ses expériences dans les médias, car il a été parmi les premiers à écrire sur les pages économiques de notre confrère La Presse et a eu son propre programme hebdomadaire à la radio nationale; tout cela pour un effort de vulgarisation de la science de la gestion
Son poste de commandement d’un groupe qui va de l’enseignement du primaire au mastère et qui compte 30 nationalités et 200 enseignants est une toute petite pièce élégante, claire, accueillante d’où les tons foncés sont résolument exclus. Un Laptop Tablet, des bannières, du cuir beige et de la lumière terminent le décor où évolue M. Ben Turkia. Chaleureux, choisissant attentivement ses vocables, dans un costume aussi sobre qu’un uniforme d’officier, le doyen de l’UAS est cet universitaire méthodique, bourré de principes et de valeurs, auquel chacun voudrait confier ses enfants.
Pour lier le propos, il nous parle de quelques-unes de ses expériences dans les médias, car il a été parmi les premiers à écrire sur les pages économiques de notre confrère La Presse et a eu son propre programme hebdomadaire à la radio nationale; tout cela pour un effort de vulgarisation de la science de la gestion
Une formation et des valeurs
Né à Kélibia, il y avait suivi sa scolarité jusqu’à la 6e mais il a dû la quitter très jeune parce qu’il n’y avait pas de lycée ou de collège à l’époque. Pourtant, sa ville natale a laissé en lui la trace indélébile de plusieurs valeurs. Car, à Kélibia, l’enseignant avait une place de choix, à tel point que son rêve de jeunesse était de devenir instituteur (ses investissements dans l’enseignement primaire au sein de son groupe viennent de là). Ses enseignants étaient aussi bien Tunisiens que Français ; une chance parce que sa formation était biculturelle dès l’origine. Il se rappelle : ?’Mes instituteurs ont forgé ma personnalité. Chacun est influencé par ses maîtres du primaire ou ses professeurs du lycée mais rarement pas ses enseignants universitaires ! Et c’est grâce à mes maîtres d’école que je suis devenu enseignant. Par leur exemple, j’ai une conception très noble de ce métier.’’
L’histoire est particulière. Dans les années 1960, sa famille le destinait à devenir médecin et il a été naturellement dirigé vers la filière ?’Sciences’’? et c’est là que fut créée une toute nouvelle filière ?’Economie-Gestion’’ pour les meilleurs élèves. Du coup, M. Ben Turkia était parmi les ?’victimes’’ de cette nouvelle orientation ; il faisait partie de la toute première promotion où seulement deux réussirent leur bac nouveau sur toute une classe. ?’Mais j’ai pris ma ?’revanche’’ en passant un Doctorat en gestion hospitalière’’, plaisante-t-il.
En 1978, il a terminé son cursus universitaire en Tunisie avec une Maitrise en gestion (où il a décroché le Prix présidentiel). Puis il est parti en France où il a fini par obtenir trois diplômes de La Sorbonne et dont il est encore aujourd’hui extrêmement fier.
De 1978 à 1982, j’ai passé avec succès trois diplômes successifs à La Sorbonne : un DEA en gestion puis un doctorat de 3e cycle et enfin un doctorat d’Etat en sciences de gestion.
A 24 ans, je suis devenu enseignant en gestion à La Sorbonne pour le rester jusqu’à aujourd’hui, car je suis encore professeur Invité au sein de cette vénérable institution.
J’en garde, parmi beaucoup d’autres choses, un attachement à la personnalité si particulière de Marcel Capet, mon professeur et mon directeur de recherche à La Sorbonne. Je me considère, encore aujourd’hui, comme son disciple et l’un des amphis de l’Université arabe des sciences porte toujours son nom en guise de reconnaissance.en universitaire méthodique, il les classe en deux catégories : scientifiques et professionnelles.
Sur le plan scientifique, il tire orgueil de la publication de quatre ouvrages de référence dans le domaine du management : Management sans douleur, Management public, Management hospitalier, La culture du management. Ecrits auxquels il faut ajouter une centaine d’articles publiés dans le domaine des sciences de gestion ainsi que ses ouvrages universitaires (une dizaine en arabe et en français).
Sur le plan professionnel, ce sont trente années d’expérience dans l’enseignement universitaire fifty-fifty entre public et privé qu’il considère comme deux secteurs complémentaires. En 1987, il devient doyen-fondateur de l’Ecole supérieure de commerce puis collabore à la création d’autres établissements publics. Entre-temps, il avait sillonné tout le territoire tunisien (Tunis, Sousse, Sfax, Djerba?) pour porter la bonne parole des bonnes pratiques de gestion avant de mener une expérience qui lui laisse un bon souvenir en Arabie Saoudite où il a été professeur avant de devenir chef de département puis vice-doyen.
En 1992, le voici dans sa seconde expérience dans le secteur privé en tant que doyen dans diverses universités et, en 1993, il fonde l’Université arabe des sciences qui restera sa grande fierté de toujours. ?’Nous sommes dans toutes les filières, du préparatoire à l’enseignement primaire jusqu’au mastère. C’est la première université privée créée par des universitaires en Tunisie. Elle s’est développée avec les années pour devenir la plus grande université privée du pays au moment où elle compte plus de 30 nationalités, 200 enseignants universitaires et des relations avec des universités situées sur les cinq continents’’, comptabilise-t-il avec une fierté évidente.
Né à Kélibia, il y avait suivi sa scolarité jusqu’à la 6e mais il a dû la quitter très jeune parce qu’il n’y avait pas de lycée ou de collège à l’époque. Pourtant, sa ville natale a laissé en lui la trace indélébile de plusieurs valeurs. Car, à Kélibia, l’enseignant avait une place de choix, à tel point que son rêve de jeunesse était de devenir instituteur (ses investissements dans l’enseignement primaire au sein de son groupe viennent de là). Ses enseignants étaient aussi bien Tunisiens que Français ; une chance parce que sa formation était biculturelle dès l’origine. Il se rappelle : ?’Mes instituteurs ont forgé ma personnalité. Chacun est influencé par ses maîtres du primaire ou ses professeurs du lycée mais rarement pas ses enseignants universitaires ! Et c’est grâce à mes maîtres d’école que je suis devenu enseignant. Par leur exemple, j’ai une conception très noble de ce métier.’’
L’histoire est particulière. Dans les années 1960, sa famille le destinait à devenir médecin et il a été naturellement dirigé vers la filière ?’Sciences’’? et c’est là que fut créée une toute nouvelle filière ?’Economie-Gestion’’ pour les meilleurs élèves. Du coup, M. Ben Turkia était parmi les ?’victimes’’ de cette nouvelle orientation ; il faisait partie de la toute première promotion où seulement deux réussirent leur bac nouveau sur toute une classe. ?’Mais j’ai pris ma ?’revanche’’ en passant un Doctorat en gestion hospitalière’’, plaisante-t-il.
En 1978, il a terminé son cursus universitaire en Tunisie avec une Maitrise en gestion (où il a décroché le Prix présidentiel). Puis il est parti en France où il a fini par obtenir trois diplômes de La Sorbonne et dont il est encore aujourd’hui extrêmement fier.
De 1978 à 1982, j’ai passé avec succès trois diplômes successifs à La Sorbonne : un DEA en gestion puis un doctorat de 3e cycle et enfin un doctorat d’Etat en sciences de gestion.
A 24 ans, je suis devenu enseignant en gestion à La Sorbonne pour le rester jusqu’à aujourd’hui, car je suis encore professeur Invité au sein de cette vénérable institution.
J’en garde, parmi beaucoup d’autres choses, un attachement à la personnalité si particulière de Marcel Capet, mon professeur et mon directeur de recherche à La Sorbonne. Je me considère, encore aujourd’hui, comme son disciple et l’un des amphis de l’Université arabe des sciences porte toujours son nom en guise de reconnaissance.en universitaire méthodique, il les classe en deux catégories : scientifiques et professionnelles.
Sur le plan scientifique, il tire orgueil de la publication de quatre ouvrages de référence dans le domaine du management : Management sans douleur, Management public, Management hospitalier, La culture du management. Ecrits auxquels il faut ajouter une centaine d’articles publiés dans le domaine des sciences de gestion ainsi que ses ouvrages universitaires (une dizaine en arabe et en français).
Sur le plan professionnel, ce sont trente années d’expérience dans l’enseignement universitaire fifty-fifty entre public et privé qu’il considère comme deux secteurs complémentaires. En 1987, il devient doyen-fondateur de l’Ecole supérieure de commerce puis collabore à la création d’autres établissements publics. Entre-temps, il avait sillonné tout le territoire tunisien (Tunis, Sousse, Sfax, Djerba?) pour porter la bonne parole des bonnes pratiques de gestion avant de mener une expérience qui lui laisse un bon souvenir en Arabie Saoudite où il a été professeur avant de devenir chef de département puis vice-doyen.
En 1992, le voici dans sa seconde expérience dans le secteur privé en tant que doyen dans diverses universités et, en 1993, il fonde l’Université arabe des sciences qui restera sa grande fierté de toujours. ?’Nous sommes dans toutes les filières, du préparatoire à l’enseignement primaire jusqu’au mastère. C’est la première université privée créée par des universitaires en Tunisie. Elle s’est développée avec les années pour devenir la plus grande université privée du pays au moment où elle compte plus de 30 nationalités, 200 enseignants universitaires et des relations avec des universités situées sur les cinq continents’’, comptabilise-t-il avec une fierté évidente.
?’Mon style de gestion’’
?’J’ai un grand défaut; je suis très exigeant envers moi-même, mes enfants, mes élèves et mes étudiants et si j’ai des problèmes de santé, c’est à cause de cela. Je crois qu’il s’agit d’un défaut parce qu’il est souvent mal perçu.
Ma devise ?’Le sérieux et la discipline’’, autrement je ne peux pas travailler et j’en fais une maladie. Car la compétence est un savoir-faire qui peut s’apprendre.
Dans tous les établissements que je dirige, j’essaie de transmettre à mes enfants et aux générations que je forme, non pas de la matière, mais de la valeur.
Je suis singulièrement attaché à la Tunisie. Je suis ainsi le seul de ma promotion de La Sorbonne à être rentré au pays. J’aurais pu avoir la nationalité française mais je n’y ai pas tenu.
Je pense que la culture du privé m’accompagnait même lorsque j’étais dans le public. Je me comportais en tant que chef d’entreprise plutôt qu’en Doyen.
Au mois de septembre de chaque année, je faisais le porte-à-porte de toutes les grandes entreprises dans la finance, l’industrie, le commerce, les services? pour les inciter à accueillir des étudiants en stage. Le résultat, c’est que ces étudiants sont très souvent recrutés. A mon départ de l’ESC, j’ai laissé des promesses d’emploi pour 5 années, parce que l’on accordait nos violons en toutes choses, l’université et les patrons.
L’une de mes grandes fiertés est quand ces dizaines de diplômés que je croise un peu partout et qui occupent actuellement des postes très importants me confient leurs enfants pour les former dès l’enseignement primaire.
Dans le privé, en plus de ces valeurs, il y a des techniques de gestion propres à notre groupe :
-Nous appliquons la technique de l’organisation circulaire et non pyramidale. Chaque cadre occupe un poste dans le cercle mais il peut être opérationnel à tout moment dans n’importe quel autre poste.
-Nous sommes l’unique entreprise qui pratique la gestion financière réelle et non fictive. Nous gérons ainsi le potentiel réel, les liquidités et pas la puissance financière potentielle. Je ne crois pas beaucoup à l’effet de levier qui stipule que plus je suis endetté plus je réussis.
-Nous croyons profondément au partage du respect de la dignité dans la gestion de nos ressources humaines, alors que pas moins de 300 familles vivent de notre groupe.’’
?’J’ai un grand défaut; je suis très exigeant envers moi-même, mes enfants, mes élèves et mes étudiants et si j’ai des problèmes de santé, c’est à cause de cela. Je crois qu’il s’agit d’un défaut parce qu’il est souvent mal perçu.
Ma devise ?’Le sérieux et la discipline’’, autrement je ne peux pas travailler et j’en fais une maladie. Car la compétence est un savoir-faire qui peut s’apprendre.
Dans tous les établissements que je dirige, j’essaie de transmettre à mes enfants et aux générations que je forme, non pas de la matière, mais de la valeur.
Je suis singulièrement attaché à la Tunisie. Je suis ainsi le seul de ma promotion de La Sorbonne à être rentré au pays. J’aurais pu avoir la nationalité française mais je n’y ai pas tenu.
Je pense que la culture du privé m’accompagnait même lorsque j’étais dans le public. Je me comportais en tant que chef d’entreprise plutôt qu’en Doyen.
Au mois de septembre de chaque année, je faisais le porte-à-porte de toutes les grandes entreprises dans la finance, l’industrie, le commerce, les services? pour les inciter à accueillir des étudiants en stage. Le résultat, c’est que ces étudiants sont très souvent recrutés. A mon départ de l’ESC, j’ai laissé des promesses d’emploi pour 5 années, parce que l’on accordait nos violons en toutes choses, l’université et les patrons.
L’une de mes grandes fiertés est quand ces dizaines de diplômés que je croise un peu partout et qui occupent actuellement des postes très importants me confient leurs enfants pour les former dès l’enseignement primaire.
Dans le privé, en plus de ces valeurs, il y a des techniques de gestion propres à notre groupe :
-Nous appliquons la technique de l’organisation circulaire et non pyramidale. Chaque cadre occupe un poste dans le cercle mais il peut être opérationnel à tout moment dans n’importe quel autre poste.
-Nous sommes l’unique entreprise qui pratique la gestion financière réelle et non fictive. Nous gérons ainsi le potentiel réel, les liquidités et pas la puissance financière potentielle. Je ne crois pas beaucoup à l’effet de levier qui stipule que plus je suis endetté plus je réussis.
-Nous croyons profondément au partage du respect de la dignité dans la gestion de nos ressources humaines, alors que pas moins de 300 familles vivent de notre groupe.’’
Manoubi AKROUT
manoubi.akrout@planet.tn
manoubi.akrout@planet.tn
bio express
n 1954: Naissance à Kélibia
n 1978: Maitrise en gestion à Tunis et entrée à La Sorbonne à Paris
n 1982: Doctorat d’Etat en sciences de gestion de La Sorbonne
n 1982: Enseignant en gestion à La Sorbonne
n 1987: Doyen-fondateur de l’Ecole supérieure de commerce
n 1992: Doyen de différentes universités privées
n 1993: Fondation de l’Université arabe des sciences
n 1978: Maitrise en gestion à Tunis et entrée à La Sorbonne à Paris
n 1982: Doctorat d’Etat en sciences de gestion de La Sorbonne
n 1982: Enseignant en gestion à La Sorbonne
n 1987: Doyen-fondateur de l’Ecole supérieure de commerce
n 1992: Doyen de différentes universités privées
n 1993: Fondation de l’Université arabe des sciences
SCIENCES JURIDIQUES
SCIENCES JURIDIQUES
I/- Les types de baccalauréat requis :
* Lettres
* Economie et gestion
* Autre types de baccalauréat
II/-Les objectifs généraux
La formation en sciences juridiques vise les quatre objectifs suivants :
-doter l’etudiant d’un ensemble de connaissances juridiques de base
-créer chez l’étudiant les capacités d’analyse et de synthèse lui permettant d’argumenter et de convaincre
-développer son esprit critique
-assimiler les connaissances proches et utiles pour l’étudiant en sciences juridiques notamment les langues,l’économie,la gestion,la communication…
III/ Les motivations requises
La formation en sciences juridiques requiert un ensemble de capacités dont :
-une bonne maitrise des langues
-un esprit d’analyse et de synthèse
-une facilité de rédactionb
-une bonne aisance orale
IV/ Les licences en sciences juridiques
L’enseignement dans cette formation repose sur deux types de licences :appliquée et fondamentale. L’UAS a été habilitée à assurer un enseignement en licence appliquée dans la spécialité :droit de l’entreprise. D’autres licences sont soumises à l’approbation du ministère de tutelle.
L’UAS est réputée par sa grande tradition dans l’enseignement du droit avec son effectif d’enseignants de grande réputation et avec le réseau de partenariat avec les universités françaises les plus prestigieuses. D’ailleurs l’UAS s’était associée avec les universités de Perpignan et de Lille pour assurer des formations de droit au niveau du mastère. Elle aura donc un grand avenir dans l’enseignement du droit
V /- les principaux modules en sciences juridiques :
Durant les trois années de licence, l’étudiant suit des enseignants axés notamment sur les modules suivants :
- Droit constitutionnel et institutions politiques tunisiennes.
- Droit civil
- Droit commercial
- Droit pénal général, droit pénal des affaires
- Finances publiques
- Institutions et relations internationales
- Droit fiscal général, droit fiscal de l’entreprise
- Droit du commerce international
- Economie
- Culture de l’entreprise
- Langues
- Informatique
VI/- les perspectives de la formation en sciences juridiques :
Les différentes licences en sciences juridiques conduisent d’abord aux professions traditionnelles d’avocat, de magistrat, d’enseignant, d’huissier, de notaire, de greffier, d’expert judiciaire, etc... Mais avec l’intervention de plus en plus accentuée du droit dans tous les domaines, le besoin se fait de plus en plus sentir concernant de nouveaux métiers de droit, tels que les conseillers et consultants juristes, les spécialistes en ingénierie juridique et financière, les experts juristes, les juristes d’affaires, etc…
SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION
SCIENCES ECONOMIQUES ET DE GESTION
I/ OBJECTIFS DE LA FORMATION
L’Université Arabe des Sciences a acquis une grande expérience dans l’enseignement des disciplines des sciences économiques et de gestion. Son fondateur, le Professeur Mourad ben Turkia a fait ses études en gestion à la Sorbonne où il a obtenu son doctorat d’Etat dans cette spécialité et où il a commencé sa carrière d’enseignant universitaire. Grace à lui , l’UAS a réussi à nouer des relations de coopération avec les plus grandes universités françaises réputées dans l’enseignement des sciences économiques et de gestion. Des enseignements de mastère ont été assurés avec ces universités aussi bien en Tunisie qu’en France.
A coté de cette ouverture internationale ,l’enseignement des sciences de gestion se distingue à l’UAS par sa grande ouverture sur l’environnemnt professionnel. Un réseau très étoffé de conventions de coopération à été tissé avec les plus grandes entreprises tunisiennes dans les différents secteurs économiques des banques ,des assurances, du tourisme, du transport, de l’industrie ,du commerce et des autres secteurs économiques.
Actuellement l’enseignement de la gestion à l’UAS couvre la majorité des spécialités de cette discipline scientifique :
-LES FINANCES
-LE COMMERCE INTERNATIONAL
-LE MARKETING
-LA GESTION TOURISTIQUE ET HOTELIERE
-LE COMMERCE ELECTRONIQUE
-L’INFORMATIQUE DE GESTION
L’enseignement est assuré dans le cadre de licences appliquées. Mais l’UAS a été habilité a délivrer des licences fondamentales en comptabilité-finance et en informatique de gestion ainsi qu’un mastere professionnel en banques et assurances. D’autres spécialités de gestion ont été soumises à l’agrément du ministère de tutelle pour étoffer le rayonnement de notre université dans cette discipline.
II/ Carrières et Emplois dans les Métiers de Gestion et de Management :
Les licences dispensées répondent aux besoins du marché du travail.
Les étudiants peuvent à travers ces formations, la diversité des parcours qui leur sont offerts, l’encadrement académique et les stages professionnels dont ils bénéficient au sein de l’université, se positionner efficacement sur le marché du travail dans les différents secteurs privés et publics.
On peut classer les métiers auxquels conduisent les études en sciences de gestion (tous cycles confondus) en trois grandes catégories :
A/ Métiers liés essentiellement à l’entreprise
· Carrières financières et comptables :
· Carrières Commerciales :
· Transport et Logistique :
· Management et gestion des ressources humaines :
· Informatique de gestion et traitement informatique des données :
B/ Métiers ayant un rapport avec l’administration (centrale, sectorielle, régionale et locale)
· Les diplômes en économie et gestion peuvent postuler à des postes de : Conseiller des services publics, comptable public, contrôleur de dépenses, inspecteur de finances, contrôleur des impôts, économiste planificateur…
C/ Métiers liés à l’enseignement et à la recherche :
· Carrières universitaire, assistant, chercheur, enseignant technologue, professeur de l’enseignement secondaire ou supérieur après le mastère et le doctorat.
JOURNALISME ET COMMUNICATION
I/- Les types de baccalauréat requis :
* Lettres
* Economie et gestion
* Autre types de baccalauréat
II/- Les objectifs généraux :
La formation en sciences de l’information et de la communication tend à réaliser plusieurs objectifs :
* Doter l’étudiant d’un ensemble de compétences techniques indispensables au métier de journaliste ou de communicateur dans les divers moyens d’information écrite, auditive, visuelle et électrique.
* Permettre à l’étudiant d’acquérir en plus, la maîtrise des langues véhiculaires de l’information ou moyen de communication : l’arbre, le français, anglais.
* Enrichir la connaissance de l’étudiant par une culture générale dans plusieurs domaines, notamment l’économie, le droit, les sciences politiques, etc.
Développer chez l’étudiant en journalisme et communication à la fois le sens de l’observation, l’esprit critique et le respect du principe de l’objective.
III/- Les motivations requises :
La formation en journalisme et communication requiert un ensemble de capacités dont notamment :
La curiosité et le sens de l’observation.
La facilité de rédaction et de communication orale. La maitrise des langues.
IV/- la licence appliquée en communication d’entreprise
L’UAS est habilitée actuellement à délivrer la licence appliquée en communication d’entreprise mais elle a déjà assuré l’enseignement du journalisme et formé plusieurs journalistes sur la place.Elle est bien équipée pour assurer cet enseignement avec son studio audiovisuel et son laboratoire de langues.D’ailleurs la formation en journalisme est assurée en tronc commun avec la formation en communication dans les institutions universitaires publiques.
V/- Les perspectives de la formation en communication d’entreprise
Cette formation exigée par les nouvelles évolutions sociales, économiques et technologiques qui ont crée de nouveaux besoins et de nouveaux métiers aussi dans :
La communication au sein de l’entreprise publique ou privée
Les relations publiques
Le consulting en communication
Le marketing et la publicité.
VI/ LES PROGRAMMES DE FORMATION
Les programmes de formation de licence appliquée en communication d’entreprise comportent trois grands volets :
-un approfondissement de la formation linguistique ,avec des cours d’arabe ,de français,d’anglais et de traduction
- une initiation aux principales disciplines de culture générale nécessaire dans le métier de journaliste et de communicateur, à savoir les cours de droit, de gestion, d’economie, et de sociologie
- et une formation spécialisée en journalisme et en communication
Cette formation spécialisée couvre :
-les différentes techniques de rédaction
-les différents médias écrits audiovisuels et numériques
-les différents aspects de la communication d’entrprise, notamment la publicité et les relations publiques.
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